C’était ce que chantonnait le joyeux petit lutin. Son visage pâlit ! Vite vite ! Il devait se dépêcher ! Il avait presque oublié… Le Santakorosu* avait disparu ! Le petit lutin voulait se rendre en Angleterre, avec ses pouvoirs magiques. Seulement il était trop jeune… A la place il s’est dirigé vers le Japon ! Le petit Lutin avait emporter le livre du santakorosu. Il prit trois noms dedans.

« Tokô et Tsukumo Murasame ainsi que Ace Kurashi… venez ici ! Sauver le santakorosu ! »

C’est ainsi que les trois personnes qu’il avait nommée apparaissent devant lui. Il voyait rarement des humains. Il les regarda, les dévisageant.

« Bonjour petits humains ! – dit le petit lutin- je suis un lutin ! Je m’appelle Guriin* Je sais que vous ne connaissez pas les mythes des autres peuples… Mais le Santakorosu a disparu ! Il faut que vous le retrouvre si vous voulez avoir des cadeaux cette année ! »

La pièce soudaine noire, s’illumina des couleurs de noël, guirlandes, sapin, traineau.


* Santakorosu : Nom japonais du père nowel, il n'existe pas chez eux.
* Guriin : Nom japonais anglophone pour "vert"

Le soleil n’était pas encore lever lorsque Tokô se réveilla, il était tôt, mais Tokô venait de faire un horrible cauchemar et par peur d'en refaire un, elle ne voulait en aucun cas se rendormir. Mais elle ne pouvait pas se lever maintenant, il était bien trop tôt pour ça. Elle prit une profonde inspiration pour se calmer, toujours la peur au ventre suite à son cauchemar. Elle se leva donc et s'avança vers sa fenêtre. Elle tira son rideau. Et elle regarda dehors. On pouvait commencer à voir le froid. Et donc l’hiver, et la période de Noël. Tokô aimait beaucoup cette période, ça la rendait heureuse. Elle ne se rendit pas compte que le temps défilait devant cette grande fenêtre. Elle alla donc prendre son bain. Puis alla s’habiller. Elle détacha sa chevelure pour la coiffer. Elle voulait aller voir Tsukumo pour lui parler de quelque chose. Mais devant la porte de ça chambre, elle avait comme disparût. Et elle avait atterrit autre part. Elle regarda autour d’elle mais l’endroit était noir, elle ne voyait pas grand chose. Puis elle entendit une voix


« Bonjour petits humains ! – dit la voix- je suis un lutin ! Je m’appelle Guriin* Je sais que vous ne connaissez pas les mythes des autres peuples… Mais le Santakorosu a disparu ! Il faut que vous le retrouvre si vous voulez avoir des cadeaux cette année ! »

Tout à coup, la pièce s’illumina grâce à des guirlandes, et avec des lumières de Noël. C’était magnifique. Au près d’elle ce trouvait Tsukumo et, une personne qu’elle ne connaissait pas, une personne aux cheveux noir. Elle se rendit compte aussi que la personne ayant parlé était un lutin. Quoi un lutin ? Pensa-t-elle. Il parlait du Santakorosu qui avait disparut et qu’il devait le retrouver. D’accord mais comment …

Qui était ce petit être vert ? Ace n'était pas du genre à ne pas aider les personnes qui en avaient besoin. Notre sombre héros avait répondu à l'appel ! Tel un tour de magie il apparut devant cette petite chose. Il n'était pas seul ! Près de lui se dresser un drôle d'homme au cheveux blanc. Il n'était pourtant pas si vieux que ça ! C'était certainement une mode chez les humains. Il y avait également une jolie jeune femme. Le coup de foudre ?! Oui ! Ace avait trouvé la perle rare, une femme avec qui il allait pouvoir passé sa vie. C'était elle, celle qu'il cherchait depuis des années ! Le sourire aux lèvres, Ace se rapprocha de la belle avant de poser un genou à terre. Il attrapa la main de la demoiselle et embrassa sa main avec douceur et sympathie, tel un chevalier.



Le regard illuminé et beau, le vent se leva à se moment pour faire valser les cheveux de notre jeune démon. Ses dents blanches brillaient comme les rayons du soleil. La beauté de Tôko avait frappé son coeur et paralysé ses esprits. Le petit lutin vert était énervant ! Il voulait que Ace parte à la recherche de Santakorosu ! Tout ça pour avoir des cadeaux. Pourquoi recevoir une chose si inutile ? Il avait devant lui une belle jeune femme ! C'était ça son cadeau ! La pièce s'illumina pour laisser entrevoir un nouveau décors. Il y avait beaucoup de couleur, des sapins et des guirlandes. Il devait cependant se montrer digne d'elle et se comportait comme un vrai gentleman. Il se releva alors avec un air sérieux. Il ne pouvait pas refuser d'aidé un jeune enfant. Passant une main devant son front pour se recoiffé, il lâcha un nouveau sourire en direction du lutin pour reprendre.



Il se tourna une nouvelle fois vers la belle avant de s'approcher d'elle et de s'incliner légèrement avant de reprendre avec un air sincère et le poing serré.

Étant donné que je m'étais endormi la veille aux côtés de Tokô, je fus surpris de me retrouver, à mon réveil, soudainement habillé et dans une étrange pièce vide, après un petit flash de lumière passant du noir au blanc. Un petit homme tout en vert, qui était en fait un lutin, nous expliqua que le Santakurosu avait disparu et que notre mission était de le retrouver. J'étais bien étonné, d'abord par cette rencontre inhabituelle avec un personnage surnaturel, mais aussi parce que c'était une bien étrange proposition! À notre âge, Noël était une fête dédiée aux amoureux, pas aux cadeaux. Mais évidemment, si on pouvait en recevoir, ce ne serait certainement pas de refus, et puis cela nous permettrait d'aider les petits enfants à être heureux...

Toutefois, nous ne pûmes lui poser nos questions. Un homme venait d'apparaître en voulant apparemment faire la cour à Tokô-chan, alors que le décor changeait pour être plus coloré, avec toutes ces lumières et ces guirlandes. Quelle horreur! Je m'interposai donc entre eux au bout d'un moment, empêchant donc cet étranger de l'approcher et surtout de la toucher davantage. Après tout, les Opasts étaient les plus dangereux d'entre tous, à cause de leur charme... Il était de mon devoir de la mettre en garde et de la protéger de ce genre d'hommes dangereux, même au péril de ma vie.

« Ne touche pas à ma soeur, Duras. »

Si ma voix était calme et posée, il devait être clair que je ne le laisserais pas envoûter Tokô aussi facilement. Je retournai ensuite mon centre d'attention principal vers le lutin. Apparemment nous étions tous convoqués ici pour la même raison... Alors, soit il faudrait s'affronter dans une sorte de concours, soit il faudrait faire équipe... Génial... Mais au moins je pourrais avoir ce séducteur un peu louche à l'oeil, dans ce dernier cas...

« Que devons-nous faire? » demandais-je donc, en me disant que plus tôt nous commencerions, plus tôt nous accomplirions notre mission.

[HRP : Cela ne me dérange pas trop que l'ordre reste ainsi à l'avenir... Mais en autant que vous ne zappiez pas complètement mon tour évidemment !]

Petit Lutin vert dénommé Guriin regardait les trois petites choses qui étaient là. Qu'elles étaient mignonnes ! Et qu'elles faisaient peur aussi ! Il n'aimait pas les disputes qui commençaient ! Rah la la ! Il dansait sur l'air de nowel ! Il dansait, il est mignon ce petit lutin dite donc !

Il les détaillait. Le première dit oui- elle a pas dit non donc c'est oui- , le deuxième aussi, troisieme aussi et hop ! Mais c'est génial tout ça ! C'est qu'il est content le petit lutin ! Il sautillait et tout ça ! A chaque fois que un disait oui il riait et leur disait merci. Il s'enfuit un petit moment.

" Ouii ouiii je reeviens !''

Il se dépêcha donc de courir vers une sortie. Il revint avec un grooooos paquet ! Il alla vers les autre gens, et leur donna à chacun une poignée et bonbons et autres sucreries qui donnent des caries.

" Cadeau, cadeau, ce sont des présents ! caaadeaux ! "

C'est qu'il était tout excité le lutin vert en kimono tout bizarre ! Il prit soudain un air solennel et très sérieux, a un point ou cela fit rire. Il prit un parchemin et le déroula.

" Il était une fois, ou un méchant homme kidnappa le père nowel ! des gens braves allaient le sauver... mais comment mais comment ? en répondant à des énigmes pardi ! Oui oui ! des énigmes !"

Tant de choses venait de se passer. La vue du Lutin et donc la disparition et leur mission qui se dressaient devant eux. Par la suite le jeune homme que Tokô ne connaissait pas commençait à lui faire la cours et lui faire des avance. Si elle n'était pas aussi proche de Tsukumo et si quelque chose ne le retenait pas, elle aurait pu accepter. Mais le temps n'était pas à sortit avec quelqu'un.
Tsukumo défendu Tokô, normale pensa-t-elle. Tokô était prête pour cette mission. Elle était en pleine forme pour s'y lancer. Il partit un moment. Tokô n'y comprenais plus grand choses. Mais elle avait hâte de commençait cette mission. Le lutin donna des sucreries a tout le monde.

" Il était une fois, ou un méchant homme kidnappa le père nowel ! des gens braves allaient le sauver... mais comment mais comment ? en répondant à des énigmes pardi ! Oui oui ! des énigmes !"

Oh oui des énigmes, Tokô adorait ça, même si elle devait y réfléchir un peu moment et travailler avec les autres pour trouver une solution. Tokô prit une grande inspiration.

"Allez y, donnez vos énigmes, je suis prête "

Mais les autres étaient-ils prêts à se lancer dans cette aventure, qui pourrait pourrait être périlleuse.

La jeune et jolie jeune femme n'avait pas eu le temps de répondre à notre sombre héros, l'autre personne c'était interposé entre eux. Cet homme qui gênait leur "rendez-vous galant" n'était autre que son frère. Au moins il était fixé, ce n'était pas son petit ami ! Cela se voyait dans ses propos, il n'aimait pas les duras et encore moi lorsque ceux-ci avait le grade d'Opast. Malheureusement pour lui il allait devoir faire avec. Ace avait été nommé pour cette mission. Il n'était pas habitué à être en présence d'une telle beauté. Pour ne pas la contrarié il allait évité de la courtisé en présence de son frère. Il était toujours pour quelqu'un de voir un membre de sa famille s'interposé dans une relation amoureuse. Tokô avait préferé ne rien dire, elle était assez mystérieuse mais ne semblait pas si indifférente que ça au charme d'Ace. Il avait tout le temps pour faire connaissance avec elle durant cette quête. Il laissa apparaitre un jolie sourire pour répondre à Tsukumo.



Avait-il une idée derrière la tête ? Non ce n'était pas du tout son genre... Bref, il s'écarta de la ravissante demoiselle pour rejoindre un mur et appuyé son dos dessus. Les bras croisés, il se contenta d'attendre et d'écouter. Le petit lutin se mit à courir de partout avant de revenir avec des bonbons. Des cadeaux pour eux ? Ace aimait beaucoup les sucreries et décida d'en garder dans sa poche pour plus tard. Pour partir à la recherche du père noël ils devaient répondre à des enigmes. Tokô était courageuse et magnifique, l'Opast resta en retrait et posa son regard vers le lutin en attendant que celui-ci ne commençe.

Le lutin semblait prendre la situation bien peu au sérieux, alors qu'il dansait et virevoltait ainsi dans cette pièce un peu bizarre. Il était pourtant question d'un enlèvement, si j'avais bien suivi jusqu'à maintenant. Tiens, le petit bonhomme avait à présent disparu. Mais le voilà qui revenait presque aussitôt! Certes, il était logique qu'il ne s'enfuit pas trop loin de ceux qui étaient supposés l'aider dans cette quête, mais c'était tout de même un comportement plutôt étrange. Il nous donna à tous les trois un petit cadeau de remerciements. Des bonbons! Voilà une chouette récompense pour n'avoir fait, au final, qu'accepter notre mission. Je défis l'emballage de l'un d'entre eux pour le mettre dans ma bouche, les autres tombant plutôt lourdement au fond de ma poche. Il nous expliqua ensuite qu'il faudrait résoudre des énigmes pour retrouver le Santakurosu. Voilà qui ne semblait pas trop compliqué... Surtout alors que nous étions trois pour trouver la solution. Après tout, ne dit-on déjà pas que deux têtes valent mieux qu'une?

« Nous vous écoutons Guriin. » renchéris-je après ma sœur, avec un léger sourire malgré ma méfiance envers l'autre homme. Eh oui, même si ce Duras avait semblé être capable de faire preuve d'un peu de bon sens en ne s'opposant pas à ma volonté, il demeurait toujours suspect, puisque rien ne garantissait qu'il ne recommencerait pas dès que j'avais le dos tourné. Mais comment demeurer fâché lorsqu'on avait une petite créature qui transpirait ainsi la joie devant soi?